Y’en a tant qui tuent le tempsTant et tant qui le perdent ou le passentTant qui se mentent, inventent en les rêvantdes instants de grâceOh je donne ma place au paradissi l’on m’oublie sur terreEncore hier
Y’en a tant qui tuent le tempsTant et tant qui le perdent ou le passentTant qui se mentent, inventent en les rêvantdes instants de grâceOh je donne ma place au paradissi l’on m’oublie sur terreEncore hier